Zone de pêche : Méditerranée
Type de pêche : Pêche sur chasses
Poissons ciblés : Pélamides, Sérioles, Thons, Pagres
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Je pêche depuis ma plus jeune enfance, ayant grandi au bord d’une rivière, j’y ai pris goût naturellement.
Cette passion est venue avec le temps. En pratiquant de plus en plus par moi-même, j’ai fait des rencontres qui m’ont motivé à aller plus loin que la simple pêche occasionnelle. Petit à petit, c’est devenu une véritable façon de vivre.
Ma pêche préférée reste la pêche sur chasses, mais en réalité, toutes les pêches me passionnent. Il suffit d’une bobine de fil et d’un hameçon pour prendre du plaisir !
Les espèces que je recherche le plus souvent sont la pélamide, la sériole et le thon lorsque la saison le permet. Mais en hiver, j’ai un attachement particulier pour la traque du pagre au tenya, une technique qui apporte calme et sérénité.
Au départ, c’est une opportunité qui s’est présentée, mais après presque six ans aux côtés de la team Kerfil, je peux dire que c’est un vrai choix.
J’apprécie la qualité et la robustesse du matériel. Kerfil propose une gamme accessible à tous et ne cesse d’innover, notamment en développant des produits performants et en distribuant des marques prestigieuses comme Live Target, Mustad et bien d’autres.
Difficile de choisir, mais voici mes incontournables :
Les Drennegs pour la pêche sur chasses
Les Tracer Shot de Mustad
Les moulinets Banax, qui offrent un grand confort en action de pêche
La canne Sang-Eo Silk Dragon, une véritable révélation pour moi
Il y en a beaucoup, mais si je devais en choisir un, ce serait ma dorade coryphène d’il y a deux ans, capturée avec la Scrappy et un moulinet Tica Tbat 2500.
Ce jour-là, avec un ami, nous pêchions sur d’énormes chasses de pélamides en plein été. L’après-midi avait déjà été exceptionnel, puis j’ai lancé au milieu d’une petite boule de poissons… et là, surprise totale : une dorade coryphène surgit hors de l’eau !
J’ai eu à peine le temps de réaliser avant d’entendre le frein siffler et voir ma tresse partir à toute vitesse. Le combat a été intense, tout en finesse, car ce poisson réalise des chandelles impressionnantes et peut se décrocher à tout moment. Après 15 à 20 minutes de patience et de précision, elle est enfin arrivée au bateau… pour se décrocher directement dans l’épuisette !
Cette dorade coryphène pesait près de 10 kilos, un spécimen rare en Méditerranée. Un moment inoubliable !
“C’est à la fin du bal qu’on paye les musiciens.”
La persévérance m’a souvent permis de faire de belles pêches après de longs moments à chercher le bon pattern ou la bonne zone.